S’abandonner à la Vie, c’est s’offrir de véritables vacances.
La Vie, avec un grand V, est une force omniprésente — un courant bienveillant qui nous précède, nous entoure, nous élève.
Elle est ce guide silencieux, ce parent invisible, qui orchestre chaque instant avec une intelligence infinie.
S’abandonner à soi, c’est s’abandonner à cette Vie.
Non pas dans la résignation ou la passivité, mais dans une ouverture radicale, une reddition sacrée.
Accepter ce qui est, ici et maintenant, sans lutte ni condition,
c’est offrir à notre âme le plus profond des repos —
une paix intérieure que nulle richesse matérielle ne saurait égaler.
Le courage de l’abandon
S’abandonner lorsque tout va bien est une danse aisée.
Quand la vie coule de source et que les jours s’alignent avec douceur, il semble naturel de se laisser porter.
Mais qu’en est-il quand tout vacille ?
Quand une perte survient…
Quand la peur viscérale du manque — d’amour, de sécurité, d’argent — s’empare de nous…
Quand l’effondrement intérieur semble total…
Alors, s’abandonner devient un acte de courage.
Un saut quantique dans l’inconnu.
Et c’est là, précisément au cœur de la tempête, que la reddition prend tout son sens.
Dans ces instants, une solitude abyssale peut nous traverser.
Un vide qui semble vouloir nous engloutir.
Et pourtant, c’est souvent dans ce gouffre qu’apparaît une Porte :
celle de l’union avec notre part divine.
Lorsque l’ego capitule,
que le mental relâche enfin son besoin de contrôle,
une brèche s’ouvre.
Et dans cette faille sacrée,
nous pouvons nous laisser tomber dans les bras de la Vie.
Ce n’est pas confortable.
C’est même parfois brutal.
Mais c’est là que se révèle une liberté inouïe, une paix qui ne dépend plus de rien.

Une foi incarnée, au-delà des concepts
S’abandonner lorsque tout va bien est une danse aisée.
Quand la vie coule de source et que les jours s’alignent avec douceur, il semble naturel de se laisser porter.
Mais qu’en est-il quand tout vacille ?
Quand une perte survient…
Quand la peur viscérale du manque — d’amour, de sécurité, d’argent — s’empare de nous…
Quand l’effondrement intérieur semble total…
Alors, s’abandonner devient un acte de courage.
Un saut quantique dans l’inconnu.
Et c’est là, précisément au cœur de la tempête, que la reddition prend tout son sens.
Dans ces instants, une solitude abyssale peut nous traverser.
Un vide qui semble vouloir nous engloutir.
Et pourtant, c’est souvent dans ce gouffre qu’apparaît une Porte :
celle de l’union avec notre part divine.
Lorsque l’ego capitule,
que le mental relâche enfin son besoin de contrôle,
une brèche s’ouvre.
Et dans cette faille sacrée,
nous pouvons nous laisser tomber dans les bras de la Vie.
Ce n’est pas confortable.
C’est même parfois brutal.
Mais c’est là que se révèle une liberté inouïe, une paix qui ne dépend plus de rien.
Une abondance naturelle
Quand nous cessons de bloquer le courant de la Vie par la peur, par le besoin de contrôle ou de savoir,
alors une abondance naturelle peut enfin circuler.
Pas seulement matérielle.
Mais émotionnelle, énergétique, spirituelle.
Elle naît de l’alignement avec la Source —
cette Intelligence universelle qui sait mieux que nous ce qui est juste, ici et maintenant.
Comme l’évoque Eckhart Tolle :
« Lorsque vous vous alignez sur l’instant présent, vous devenez un avec la Vie,
et la Vie commence à couler à travers vous. »
Et dans ce flot vivant,
tout devient plus simple.
Plus fluide.
Plus joyeux.
À mesure que cette Présence s’installe, nous gagnons en discernement.
Nous apprenons à voir avec plus de clarté — en nous, chez l’autre, dans ce que la vie nous présente.
Nous reconnaissons nos zones d’ombre sans rejet ni honte.
Nous cessons de chercher la perfection, et choisissons de transformer ce qui demande à l’être, avec amour et lucidité.
La Vie, elle aussi, est imparfaite en apparence… et pourtant, elle évolue à travers chaque pas que nous osons faire.
C’est tout l’esprit de mon programme « Le Voyage Sacré de Soi » : un chemin de réconciliation intérieure,
où l’on accueille toutes nos parts pour les transmuter en force de vie.

Le basculement intérieur
Alors un basculement s’opère.
Nous ne sommes plus jamais seuls.
Même dans le silence.
Même dans l’inconnu.
Quelque chose est là, en nous, avec nous, à travers nous.
Une force bienveillante, immuable,
qui nous soutient à chaque pas.
Et cela change tout.
À jamais.
Vivre dans la danse de l’instant
Alors un basculement s’opère.
Nous ne sommes plus jamais seuls.
Même dans le silence.
Même dans l’inconnu.
Quelque chose est là, en nous, avec nous, à travers nous.
Une force bienveillante, immuable,
qui nous soutient à chaque pas.
Et cela change tout.
À jamais.
Les véritables vacances de notre vie
En cet espace,
la Vie ne devient plus une lutte,
mais une co-création sacrée avec une conscience plus vaste.
On ne bloque plus ce qui veut nous traverser,
nous nourrir,
nous transformer.
Et c’est là que l’on découvre les véritables vacances de l’âme :
non pas l’absence de défis,
mais la présence d’une paix inaltérable,
d’une joie qui ne dépend de rien d’extérieur.
En conclusion…
S’abandonner à la Vie,
c’est s’offrir le plus grand des cadeaux :
celui d’être pleinement vivant.
C’est choisir la confiance plutôt que la peur,
l’ouverture plutôt que la résistance,
l’amour plutôt que le contrôle.
Et dans cette reddition,
nous découvrons ce que nous avons toujours cherché :
la liberté d’être, simplement, Soi.
En vacances véritablement… Paix ♥
Christelle.
